312 - Répondre à Tatave.

Mais non, mais non, mon brave et néanmoins ahurissant Tatave, non, il n'y a pas d'attente. Car si j'avais parlé de me pencher sur le cas Tatave, il ne s'agissait nullement d'en faire un cas d'école, je crois malheureusement que le sujet pêche par excès de zèle.  
 
Car il ne m'arrive pas très souvent que l'on me réponde avant que je me sois exprimé. C'est pourtant ce que tu as fait, avant même que je ne développe mon raisonnement. Cela m'a conduit aux réflexions suivantes :
 
- Tatave, ce brave et néanmoins inconséquent Tatave, est devenu tellement sûr de ses analyses, qu'il pense sincèrement connaitre à l'avance les cheminements de la pensée kerozenienne et qu'il n'attend même plus que celle-ci se concrétise pour en combattre les conclusions.
 
- Ceci, indépendamment du fait que sa réponse n'a bien sûr rien à voir avec ce que j'aurais pu dire, me donne quand même l'occasion d'éviter un effort sans doute inutile, et me permet de buller un peu plus, et vu la météo actuelle, ce n'est pas négligeable.
 
- Je vais institutionnaliser la méthode, elle est vachement pratique. Je dirai : "Je vais bientôt parler de Tatave". Celui-ci se jettera sur son clavier et répondra par avance à toutes mes affirmations supposées. Et paf ! J'aurai économisé un post. Plus besoin d'en rajouter, il aura déjà balayé mes critiques qui en deviennent ipso-facto, inutiles.
 
J'aime ces périodes de farniente et de paresse récurrrente, ces grands moments de fainéantise qui vous régénèrent et vous ramolissent encore davantage, qui vous préparent de manière presque parfaite à la sieste quotidienne qui précède le repos salvateur. Et le soir, au moment du coucher, la satisfaction de n'avoir rien fait ou presque, vous permet de dormir du sommeil du juste, qui vous permettra d'être en super forme le lendemain pour attaquer une journée remplie de petits riens pas fatigants.