172 - Une réponse surdimensionnée.

Oufffff ! Pour un post-fleuve c'est un post-fleuve !!! Un post fleuve pour lequel j'ai d'ailleurs une grande admiration et qui pourtant est une source d'étonnement. (Je ne me rappelle plus qui avait pris la peine de réfuter une affirmation sans doute un peu légère que j’avais inprudemment assénée sur la toile…) 
 
En effet ce texte m'étonne au plus haut point, car il s'agit apparemment d'une réponse à une affirmation. Une réponse étayée, érudite, scientifique, réfléchie, mesurée, pleine de bon sens et de connaissances des phénomènes météo et des habitudes des grands compétiteurs, le résultat d'observations précises, la mise en équations complexes par une intelligence pointue des problèmes étudiés. Ce qui m'étonne dans tout ça ? C'est que cette réponse admirable comme je viens de la décrire est faite à une vague réflexion faite par un paresseux notoire, incapable de voir plus loin que 24 heures, et encore déjà tout flou à 12 heures, et qui compte sur Sainte-Pétole pour corriger des manquements flagrants au minimum d'attention requis pour essayer de figurer. Tout bouge, les vents, les concurrents, à chaque heure suffit sa peine... 
 
C'est donc beaucoup d'honneur qui m'est fait, et j'y suis sensible, mais c'est sans doute un peu excessif. C'est un peu comme si Einstein se fendait de deux pages d'un journal scientifique connu pour répondre à un gugusse qui aurait écrit qu'en matière de relativité, celle qui existe entre un coup de pinard et un coup de pied au cul est assez complexe à démontrer. 
 
En toute humilité. Je ne suis malheureusement pas sûr de pouvoir utiliser avec bonheur tout ce qui est écrit, car il me faut faire un effort intellectuel intense, et chacun sait que c'est douloureux.